Geneviève Gallibert


Aérodrome de campagne















Bien que nommée Peintre Officiel de l'Air en 1935 le nom de Geneviève Gallibert apparaît dans l'Aérophile du 15 décembre 1930. Dans son article "L'Art et l'Aviation" consacré au salon de l'aéronautique et de l'art, Louise Faure Favier regrette que les peintres n'utilisent pas plus ce que l'avion apporte de nouveau dans la perception des éléments et notamment grâce à la verticalité. Elle ajoute : "Et comme les peintres élargiraient leur horizons s'ils consentaient à monter en avion !"

La journaliste remarque et met en avant le travail de Geneviève Gallibert. Elle écrit : "La jeune artiste avoue toutefois qu'elle n'a acquis qu'après plusieurs voyages, ce sens de l'air qui lui a permis de si bien traduire l'atmosphère dans laquelle évolue l'avion. C'est pourquoi les aviateurs s'arrêtent longuement devant son "Aérodrome Morane-Saulnier" Ils s'y retrouvent. Ils croient y êtrent....."